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infoIRSST - Des nouvelles de la recherche
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L’Institut se dote d’un plan d’affaires visant à accroître ses partenariats de recherche afin de mieux répondre aux demandes toujours plus nombreuses et diversifiées des milieux de travail. L’objectif de cofinancement, établi à 750 000 $ pour l’année, est largement dépassé.
Jean-Guy Martel, directeur services et expertises de laboratoire, 2002-2003 Entrevue complète
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Diane Gaudet, présidente-directrice générale, 2002-2007 Entrevue complète
L’IRSST et l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) de France paraphent une entente-cadre de partenariat. Celle-ci établit les paramètres de coopérations bilatérales en matière d’activités de recherche et d’expertise qui conduiront à la signature d’ententes spécifiques.
L’IRSST s’allie avec le Workplace Safety and Insurance Board (WSIB) de l’Ontario pour s’attaquer aux problèmes de vibrations que subissent les conducteurs de véhicules miniers.
Un partenariat entre l’IRSST et les IRSC s’avère fructueux puisqu’il permet le financement de deux importants centres de recherche au Québec : un sur l’asthme au travail, qui sera établi par des chercheurs de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, de l’Université de Montréal et de l’Université McGill, l’autre sur la SST en agriculture, auquel se joignent des chercheurs de l’Université Laval et de l’Université de Saskatchewan.
S’associant à l’Université de Sherbrooke et au groupe de recherche Safety Net de Terre-Neuve, l’IRSST participe à la formation d’un consortium de recherche interdisciplinaire sur le transfert des connaissances sur les accidents du travail et leur contexte. Les IRSC subventionnent ce projet à hauteur d’un million de dollars.
Jean-Yves Savoie
Brigitte Roberge
Paul-Émile Boileau
Jacques Lesage
L’IRSST se dote d’une programmation de recherche thématique sur les chariots élévateurs, qui sont la cause de nombreux accidents graves, voire mortels. Échelonnée sur cinq ans, cette programmation vise à prévenir les renversements, à protéger le cariste en cas de renversement, à réduire les risques de collision et à développer une expertise et des outils de prévention pour ce type de véhicule.
Les travailleurs de la région de Québec ont accès à un nouveau centre de diagnostic de l’asthme professionnel à la fine pointe de la technologie grâce à deux systèmes de provocation bronchique mis au point à l’IRSST. L’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec (IUCPQ) devient le deuxième centre du genre en territoire québécois, en se dotant de deux systèmes de provocation sécuritaires conçus par le laboratoire de métrologie des aérosols de l’Institut. En appliquant une technologie d’avant-garde, ces chambres automatisées de génération d’aérosols et de vapeurs représentent plusieurs avantages pour les travailleurs et pour le personnel hospitalier, en plus d’uniformiser les tests de diagnostic. Au Québec, seuls l’IUCPQ et l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal disposent de cette technologie.
Un fabricant chinois de gants de protection acquiert un tomodynamomètre TDM-100. Cet appareil, conçu par l’IRSST pour évaluer la résistance des vêtements de protection à la coupure, a déjà été vendu à plusieurs compagnies et organismes de certification, notamment en France, au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Japon.