IRSST - Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail

1989 : Transfert et valorisation

Jean-Charles Guindon

Un nouveau service, le Service de transfert des applications de la recherche (STAR), est mis sur pied. Le STAR publie huit rapports, dont cinq provenant de la recherche interne (les sujets abordés sont les jambières de protection, la machine à bardeaux, la protection contre les chutes de hauteur, l’organisation du travail et la sécurité des activités forestières, un générateur de poussières utilisé pour le diagnostic de l’asthme) et trois sur le contrôle et les méfaits du bruit et sur les maladies pulmonaires.

Jean-Charles Guindon en est le directeur.

René Lévesque

Alain Lajoie, directeur des services et expertises de laboratoire, 1985 - 1995
Entrevue complète

Conférence scientifique internationale sur le travail à l’écran de visualisation

L’Institut est l’organisateur et l’hôte de la 2e Conférence scientifique internationale sur le travail à l’écran de visualisation. Environ 750 délégués de 30 pays participent à cet événement qui donne lieu à 180 conférences et qui permet à l’IRSST de valoriser les résultats de recherche qu’il finance sur les effets possibles des radiations et d’autres problèmes de santé associés à l’utilisation des écrans de visualisation.

Un prototype de prothèse de la main
Prothèse de main

Gilbert Drouin, Institut de génie biomécanique,
École Polytechnique de Montréal

Une nouvelle prothèse de la main, plus fonctionnelle, est conçue par des chercheurs de l’École Polytechnique de Montréal et de l’Institut de réadaptation de Montréal, dont l’IRSST finance en partie les travaux. Six exemplaires du prototype, qui permet une trajectoire du pouce nettement plus proche de son mouvement naturel, sont soumis à une évaluation clinique à laquelle participent des travailleurs amputés, avant que la prothèse soit commercialisée.

Robert Diamant

Robert Diamant

En décembre, Robert Diamant devient président du conseil d’administration de l’IRSST. Il entend « contribuer à ce que l’Institut se maintienne dans la voie qui répond le mieux aux besoins de nos véritables actionnaires, les employeurs et les travailleurs québécois ».